L'histoire du club

C’est Albert FONTAINE, le célèbre journaliste du Dauphiné libéré, qui surnomma les joueurs de hockey grenoblois : « les Brûleurs de Loups » dans les années 60. Pierre Olivier DURAND, président du club en 1992 donna officiellement ce nom à l’équipe de hockey grenobloise.

Pourquoi les « Brûleurs de Loups » ?

Hiver comme été, les loups faisaient des ravages en Dauphiné : de nombreux textes nous parlent d’enfants dévorés. C’était la terreur des habitants français au point qu’ils édifièrent la légende des loups-garous que l’on retrouve cette croyance à travers toute l’Europe.

Le cardinal LE CAMUS raconte avoir été témoin d’une battue organisée par ses diocésains pour se débarrasser d’une meute de loups. On cernait les carnassiers dans des bois et les taillis et on y mettait le feu. Ceux qui ne périssaient pas dans le brasier étaient abattus au moment ou ils cherchaient à s’enfuir. Ainsi naquit l’expression « Brûleurs de Loups » qui allait devenir le surnom des Dauphinois.

1963

La naissance

Le but de Pete Laliberté est double. Le père fondateur du hockey grenoblois organise des matches de haut niveau international à « Clémenceau » et en même temps, il développe le hockey mineur. Tant est si bien que dès la saison suivante, le Grenoble Hockey Club est engagé en championnat de France de 2e série, l’antichambre de l’élite, l’équivalent de la D1 actuelle.

Une équipe composée de joueurs venus de Paris (Laplassote et Sozzi, déjà présents l’an passé, plus Jimmy Biguet, ou Jean-Pierre Henet), de joueurs venus des clubs alpins (Paul Beaudoing de Villard-de-Lans, Roger Chataîgner de Briançon) et de joueurs déjà formés au club. Pete Laliberté n’hésite pas à lancer dans le grand bain des joueurs qui viennent à peine de découvrir le hockey. Les Gérard Aroles, Jean-Marie Galèra, Claude Chabrel, Joël Surle ou Joël Gauvin, le premier international totalement formé à Grenoble. Grenoble gagne le tout premier match de championnat de France de son histoire 5-0 par forfait à Briançon le 3 janvier 1965. Briançon ayant à la même date prévu un match amical contre l’US Métro et n’ayant pas voulu le décaler pour jouer contre Grenoble ! Le GHC monte en élite dès la fin de la saison et rentre le 20 mai 1965 à l’intérieur du tout nouveau club omnisport le Club des Sports de Glace de Grenoble.

Les débuts en 1ere série en 1965-66 sont fantastiques ! Avec Pete Laliberté sur le banc et sur la glace (54 buts en 16 journées !) avec le renfort de deux autres joueurs Parisiens : Michel Latour et Jean-Pierre Fialex, le Grenoble H.C. se classe troisième derrière Chamonix (1er) et Boulogne-Billancourt, mais déjà devant de grands clubs comme Villard-de-Lans, Gap, Saint-Gervais, les Français-Volants de Paris, Lille et l’U.S.Métro Paris !

1963

1965

Grenoble en championnat

Le but de Pete Laliberté est double. Le père fondateur du hockey grenoblois organise des matches de haut niveau international à « Clémenceau » et en même temps, il développe le hockey mineur. Tant est si bien que dès la saison suivante, le Grenoble Hockey Club est engagé en championnat de France de 2e série, l’antichambre de l’élite, l’équivalent de la D1 actuelle.

Une équipe composée de joueurs venus de Paris (Laplassote et Sozzi, déjà présents l’an passé, plus Jimmy Biguet, ou Jean-Pierre Henet), de joueurs venus des clubs alpins (Paul Beaudoing de Villard-de-Lans, Roger Chataîgner de Briançon) et de joueurs déjà formés au club. Pete Laliberté n’hésite pas à lancer dans le grand bain des joueurs qui viennent à peine de découvrir le hockey. Les Gérard Aroles, Jean-Marie Galèra, Claude Chabrel, Joël Surle ou Joël Gauvin, le premier international totalement formé à Grenoble. Grenoble gagne le tout premier match de championnat de France de son histoire 5-0 par forfait à Briançon le 3 janvier 1965. Briançon ayant à la même date prévu un match amical contre l’US Métro et n’ayant pas voulu le décaler pour jouer contre Grenoble ! Le GHC monte en élite dès la fin de la saison et rentre le 20 mai 1965 à l’intérieur du tout nouveau club omnisport le Club des Sports de Glace de Grenoble.

Les débuts en 1ere série en 1965-66 sont fantastiques ! Avec Pete Laliberté sur le banc et sur la glace (54 buts en 16 journées !) avec le renfort de deux autres joueurs Parisiens : Michel Latour et Jean-Pierre Fialex, le Grenoble H.C. se classe troisième derrière Chamonix (1er) et Boulogne-Billancourt, mais déjà devant de grands clubs comme Villard-de-Lans, Gap, Saint-Gervais, les Français-Volants de Paris, Lille et l’U.S.Métro Paris !

1964-1968

La fusion avec Villard-de-Lans

Comme Grenoble a été désignée le 28 janvier 1964 ville organisatrice des Jeux Olympiques d’Hiver de 1968, par 27 voix contre Calgary au troisième tour, après avoir éliminé, Lahti, Sapporo, Oslo et Lake Placid aux deux tours précédents, il faut une grande équipe de hockey dans la capitale olympique ! Le Grenoble H.C. reprend donc son indépendance vis-à-vis du C.S.G.G. et fusionne avec le C.S Villard-de-Lans pour créer une équipe première capable de disputer le titre de champion de France à Chamonix : Le GVHC, le Grenoble-Villard Hockey Club.

Les « Ours Dauphinois », le surnom de l’équipe y parviennent presque, en terminant deux fois vice-champions en 1967 et en 1968. Les matches de championnat de disputent le dimanche à Villard, les matches internationaux enchantent toujours Clémenceau le vendredi soir. Mais à la fin de la saison 67-68, le divorce est prononcé, trop de différences de mentalité entre les dirigeants.

1964-1968

1969

Les Brûleurs de Loups

Villard-de-Lans repart en 1ere série et le Grenoble Hockey Club décide de ne pas s’engager en championnat. Le public grenoblois a encore les yeux qui brillent après le spectacle olympique et l’idée de voir jouer les équipes françaises ne l’enthousiasme pas vraiment. Durant toute la saison 68-69, le GHC va entièrement se consacrer à des matches internationaux amicaux, avec une équipe renforcée par des joueurs Canadiens, Américains et bien sûr toujours Pete Laliberté.

Le public de Clémenceau va donc voir défiler des Autrichiens, Allemands, Suisses, Italiens, Tchécoslovaques, Américains, Canadiens et même l’équipe nationale des États-Unis ! C’est pour annoncer un match amical entre Grenoble et Villard-de-Lans, le 3 janvier 1969, que le journaliste du Dauphiné Libéré, Albert Fontaine trouve le surnom de « Brûleurs de Loups » pour les hockeyeurs grenoblois. Les Villardiens sont en effet « les Ours » et les Grenoblois n’ont pas de surnom. Depuis 1969 et pour toujours, ce sont les Brûleurs de Loups.

1969

La Coupe Internationale

En 1969-70, le GHC retourne en championnat de France. La fédération française ne supportant pas que l’un de ses principaux clubs boude le championnat ! Le GHC s’engage donc en 2e série. Il reste deux saisons puis remonte en élite en 72. Mais l’évènement est Européen. En 1969, les Brûleurs de Loups sont invités à participer à la Coupe Internationale. Une ligue européenne crée par les clubs néerlandais, qui sont les meilleurs d’Europe occidentale à l’époque.

Une compétition avec des clubs Néerlandais, des bases nord-américaines de l’OTAN en Allemagne, puis les années suivantes, l’ajout de clubs Allemands et Belges. Les Grenoblois vont disputer quatre éditions, progressant au fur et à mesure et laissant des souvenirs inoubliables au public et aux joueurs grenoblois. La vocation européenne des BDL est née dans ces matches amicaux internationaux du vendredi soir de 63 à 69 et dans la Coupe Internationale de 70 à 73.

1969

1969

Adieu Pete, adieu l’Europe

À la fin de la saison 1971-72, c’est un tremblement de terre dans le hockey grenoblois. Tout d’abord, la Coupe Internationale s’arrête pour raisons financières, cela coûte trop cher de sillonner l’Europe. Ensuite, l’inimaginable se produit. En froid avec les dirigeants du club, Pete Laliberté quitte les Brûleurs de Loups !

Après neuf ans comme entraîneur-joueur, Pete s’en va et part entraîner Lyon ! A sa place, un autre entraîneur-joueur canadien, Greg Rivet, mais il ne reste qu’un an puisque le GHC redescend en 2e série à la fin de la saison 72-73 et réintègre le club omnisport du CSGG qu’il avait quitté en 66-67 lors de la fusion villardienne. La page des temps héroïques des débuts du hockey grenoblois se referme.

1972

Adieu Pete, adieu l’Europe

À la fin de la saison 1971-72, c’est un tremblement de terre dans le hockey grenoblois. Tout d’abord, la Coupe Internationale s’arrête pour raisons financières, cela coûte trop cher de sillonner l’Europe. Ensuite, l’inimaginable se produit. En froid avec les dirigeants du club, Pete Laliberté quitte les Brûleurs de Loups !
Après neuf ans comme entraîneur-joueur, Pete s’en va et part entraîner Lyon ! A sa place, un autre entraîneur-joueur canadien, Greg Rivet, mais il ne reste qu’un an puisque le GHC redescend en 2e série à la fin de la saison 72-73 et réintègre le club omnisport du CSGG qu’il avait quitté en 66-67 lors de la fusion villardienne. La page des temps héroïques des débuts du hockey grenoblois se referme.

1974

Un entraîneur tchèque

Relégué en 2e série, sans Pete Laliberté, sans match international, tout est à reconstruire chez les BDL. Un entraîneur tchèque, le tout premier de l’histoire du hockey français, va y parvenir. Adolf SPRINCL, 49 ans, entraîneur du grand club du Dukla Jihlava, débarque à Grenoble au début de la saison 1973-74. Lorsqu’il en part trois saisons plus tard, les Brûleurs de Loups sont à nouveau un club respecté dans l’élite française.
Dès la première saison, en 74, il fait remonter Grenoble en Série A (le nouveau nom de l’élite française) suite à des barrages mythiques contre les Français Volants de Paris : victoire 4-3 à l’aller à Gap (Clémenceau était indisponible) et 8-8 au retour à Paris avec quatre buts pour le renfort canadien Bernard Cotte, embauché uniquement pour ce match ! Ensuite Adolf Sprincl obtient le maintien en élite les deux saisons suivantes. Grâce à lui, les BDL sont entrés dans l’ère du hockey moderne. A cette époque, en 1974, Grenoble accueille au Palais des Sports, les Championnats du Monde du Groupe C. La Suisse s’impose et monte dans le groupe B. La France se classe 5e.

1981

Enfin champion

Une fois le contrat d’Adolf Sprincl terminé, Grenoble retrouve des entraîneurs-joueurs canadiens. Le regretté Alex Dick deux saisons en 78 et 79, puis Gary Brown à partir de 1980. Des saisons frustrantes, puisque le club échoue de très près dans l’obtention de son premier titre de champion de France élite : 2e en 77, 4e en 78, 5e en 79 et 80. La longue attente prend fin en 1981 à la dernière journée de la poule finale, le mardi 24 février 1981, avec une victoire 6-1 à Viry-Châtillon au goal-average direct face au champion sortant, Tours !
Les BDL champions avec 17 joueurs formés au club (dont les Internationaux, Jean et Bernard Leblond, Philippe Treille, Daniel Maric, Jean-Charles Piccinini, Philippe Muscara, Joël Chapuis) et deux renforts canadiens, l’attaquant et entraîneur Gary Brown, naturalisé français en cours de saison et le défenseur Larry Huras. Un titre conservé la saison suivante avec pratiquement la même équipe, plus l’international amiénois, Jean-Paul Farcy et toujours devant Tours, encore à la dernière journée, suite à une victoire 4-1 à Chamonix ! Avec ces deux titres, Grenoble joue la Coupe d’Europe des Clubs Champions. En 82, les Rouges et Bleus éliminent les Espagnols de Bilbao en 16e de finale (6-2 et 3-1) et tombent en 8e face aux Allemands de Riesersee Garmisch-Partenkirchen (1-8 et 4-11). En 83, ils sombrent en 16e face à Bilbao (2-7 et 4-6).

1988

Les années difficiles et le Trans-bohémien express

Après ce double exploit, les années 80 seront difficiles. Les Brûleurs de Loups manquent de moyens financiers par rapport à des clubs qui se professionnalisent et se renforcent. Grenoble perd à chaque intersaison pratiquement tous ses meilleurs éléments et régressent dans la hiérarchie nationale : 2e en 83, 4e en 84, 6e en 85, 8e en 86, 6e en 87 et 9e en 88, année durant laquelle les Grenoblois enchaînent 17 défaites consécutives et se sauvent de la relégation à l’ultime journée des play-down condamnant Chamonix à la descente !
Mais durant toutes ses difficiles saisons, les BDL ne vont jamais perdre leur public et bénéficier de la présence d’un joueur hors normes : Bohuslav Ebermann, 195 fois international tchécoslovaque, double champion du monde élite, médaillé olympique, vainqueur du tournoi des Izvestia à Moscou, capitaine de la sélection et porte-drapeau de la délégation tchécoslovaque aux Jeux Olympiques de 1976 ! N’en jetez plus ! Avec 191 buts marqués sous le maillot grenoblois, « Boja » méritait bien son surnom de « Trans-Bohémien Express » !

1991

À nouveau champion

Après avoir faillit descendre, le club renait à l’ambition. Les BDL peuvent à nouveau recruter des joueurs de talent et ils remontent la pente : 5e en 89 et finaliste du championnat en 90 s’inclinant en finale 5-8 à Rouen et 1-5 à Grenoble dans un « Clémenceau » plus que plein à craquer et en ébullition.
Grenoble a retrouvé une première ligne de feu Philippe Bozon, Christian Pouget et le Tchèque Karel Svoboda. Avec les internationaux formés au club comme le gardien Jean-Marc Djian ou l’attaquant Stéphane Barin et d’autres internationaux formés dans les Alpes : Jean-Philippe Lemoine, Gérald Guennelon en défense, Christophe Ville, Yves Crettenand, Christian Bozon et le défenseur Canadien Steve Harrisson dit « Big Moustache », le club prend sa revanche en 91 sur Rouen en battant les Dragons en finale : 5-4 à Grenoble et 5-5 à Caen, la patinoire rouennaise étant en travaux. C’est le troisième titre pour les BDL et pour son défenseur formé au club Bernard Séguy déjà sacré en 81 et 82 ! Et le premier pour Boja Ebermann qui est resté au club comme entraîneur.

1992

Nouvelle traversée du désert

Malheureusement, la situation financière de Grenoble est semblable à celle des autres clubs : pas brillante ! Le club omnisport le CSGG dont dépendaient les BDL est liquidé. Le club repart en division inférieure et le surnom « Brûleurs de Loups » devient le nom officiel du club. Les BDL vont mettre neuf ans à retrouver le titre de champion élite.
Sous la houlette de l’entraineur Daniel Grando (ancien joueur du club double champion en 81 et 82) et avec des jeunes, souvent formé au club : Stéphane Arcangéloni, Benjamin Agnel, Benoît Bachelet, Patric Rolland, François Ferrari, Sylvain Girard, Alan Chauvin, Pierre Bourgey etc, encadrés par le capitaine international Yves Crettenand, Steve Harrisson, Martin Roh ou Fabrice Hurth, les BDL terminent 3e en nationale 1 (l’actuelle D1) en 92, mais profitent de l’élargissement de l’élite en 93 pour retrouver le haut niveau et grimper dans la hiérarchie : 8e en 93, 7e en 94 et 95, 6e en 96, 3e en 97. Et comme dans les années 80, en attendant la consécration, jamais le public n’aura déserté la patinoire. Au contraire, Clémenceau est resté un chaudron ! En 1994, Grenoble remporte cependant la Coupe de France en éliminant Gap, Villard-de-Lans, Rouen, Anglet et Chamonix en finale à Clémenceau 5-4 en mort subite grâce à un but de Maxence Fontanel et en 95, le club retrouve l’Europe en terminant 7e de l’Alpenliga, une ligue européenne avec des clubs Italiens, Autrichiens et Français, avec entre autre une victoire mythique à Milan contre le HC Milan Saïma 5-3.

1997

Tout recommencer… dans une nouvelle patinoire depuis 2001

Le club connaît sa deuxième chute pour raison financière. Cette fois-ci, il faut repartir en D3, au 4e et plus bas échelon du hockey français. Mais le purgatoire est de courte durée : une seule année, le temps de gagner le titre en D3 avec 17 victoires, un nul et aucune défaite dans la saison et même des « cartons » mémorables contre Roanne (36-1 et 29-1) ou Albertville (29-0) et revoilà Grenoble réintégré en Elite pour la saison 2000-01.
Trois saisons suivent avec le Russe Dimitri Fokine comme entraîneur et trois saisons au plus haut niveau : 3e, 3e, 4e. Mais l’essentiel est ailleurs, avec fin 2001, les championnats du monde de D1 organisés à Grenoble, non plus à Clémenceau, mais à Pôle Sud, la nouvelle antre des Brûleurs de Loups, une patinoire moderne de 3 500 places.

1998

Le sacre

La lente progression du club connaît son apogée avec le 4e titre de champion du club, le 7 avril 1998 à Amiens après une troisième manche de la finale entrée dans l’histoire. Vainqueur des deux premières manches à Clémenceau 3-0 et 3-2, les BDL s’imposent au Coliséum d’Amiens 4-3 en prolongation, grâce à un but légendaire du défenseur franco-tchèque Martin Roh, fidèle d’entre les fidèles au club grenoblois.
Une équipe championne devenue mythique avec les internationaux Cristobal Huet (oui, oui, c’est lui !) dans les cages, Stéphane Barin, Gérald Guennelon (tous deux déjà champion en 91), Benoit Bachelet, Simon Bachelet, Robert Ouellet, Pierre Allard, Benjamin Agnel et Jean-François Bonnard et les renforts légendaires Tommie Hartogs, Josef Podlaha, Marc Savard, Marius Konstantinidis, Rami Koïvisto, Miko Lempiaïnen, Nemo Nokkosmäki, Petri Pulkkinen Une équipe incroyable, entrainée par le Tchèque Jaroslav Jagr, qui a également failli se qualifier pour la finale de la Coupe Continentale, échouant à 38 secondes de la fin de sa demi-finale chez les Eisbären de Berlin encaissant un but meurtrier après une faute non sifflée sur Rami Koïvisto L’année suivante, malgré le départ à l’étranger de la plupart des cadres de l’équipe (dont Cristobal Huet en Suisse), les BDL réussissent l’exploit de battre deux fois le club Suisse de Fribourg-Gotteron en Ligue Européenne de Hockey (4-2 et 4-3). En championnat, Grenoble termine 4e, éliminé en demi-finale par Amiens, trois victoires à deux et être remonté à deux manches partout suite à deux matches de légendes à Clémenceau et trois buts de suite de l’Italo-Canadien Dino Grossi dans le quatrième match.

2007

À nouveau au sommet

En 2003-04, c’est au tour d’un ancien de la « maison » de devenir l’entraîneur des Brûleurs de Loups. Gérald Guennelon, champion de France en 91 en tant que défenseur, champion de France en 98 en tant que capitaine devient champion de France comme entraîneur en 2007. Mais ça vous le savez.

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